🌕 Lors de mon premier accompagnement énergétique d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer, l’âme s’est exprimée avec clarté, au-delà des mots effacés par la maladie.

Dans cette rencontre subtile, une culpabilité ancienne s’est manifestée : celle liée à la perte de son père, décédé alors que cette personne n’était encore qu’une enfant. Son âme m’a également révélé l’existence de son chien d’enfance et son nom. Son chien avait joué un rôle essentiel lors de la mort de son père, un souvenir dont sa famille actuelle n’avait pas connaissance !

Son musicien préféré 🎺 - information ignorée de ses proches - s'est aussi présenté lors du soin !!! 

Une colère s’est également dévoilée, reflet d’une vie où le thème du vol — qu’il soit matériel, affectif ou symbolique — avait occupé une place centrale et douloureuse.

Ces révélations sont des clés de compréhension et montrent combien l’âme garde mémoire de ce que le corps et l’esprit tentent parfois de cacher ou d’oublier. Le soin rétablit un dialogue intérieur et permet de révéler, apaiser, partager, déposer ses émotions et souvent libérer certains poids du passé ... un bien-être parfois difficile à exprimer, mais profondément ressenti.

✨ Quand la mémoire s’éteint, l’âme continue de briller. Les soins énergétiques viennent rencontrer cette lumière. L'âme est entendue, accompagnée et honorée !

NB : Les soins énergétiques ne guérissent pas Alzheimer, mais permettent de soulager, d’apaiser et de restaurer une forme de dignité et de douceur dans l’accompagnement. Ils sont un rappel que, même quand l’esprit s’efface, l’âme reste éternellement accessible à l’amour et à la lumière.

La maladie d’Alzheimer est une épreuve qui dépasse le corps et l’esprit : elle touche aussi l’âme, dans son cheminement sur Terre.

Pour la personne qui en est atteinte, la maladie est souvent incompréhensible. Elle peut susciter de l’angoisse, de la colère, de la confusion ou un repli silencieux. Les repères du quotidien s’estompent, les visages familiers deviennent étrangers, et parfois même son propre reflet dans le miroir n’est plus reconnu.

C’est une perte progressive de son identité vécue dans une grande fragilité.

Lentement, les neurones meurent et les souvenirs s’effacent, comme des pages d’un livre qu’on ne peut plus relire.

Mais c’est aussi, parfois, un retour à une forme de simplicité, à l’instant présent, là où le mental n’a plus le contrôle. L’âme continue d’exprimer sa lumière dans un regard, un sourire, un geste tendre.

Pour les proches, cette maladie est d’une cruauté immense. Ils assistent à une disparition lente, à la transformation d’un être aimé qui semble s’éloigner tout en étant encore là. C’est un deuil anticipé, une succession de petites pertes, un chemin d’acceptation douloureux, de patience et tendresse, mais aussi de force immense face à la fatigue et au chagrin.

Pourtant, à travers cette épreuve, les liens peuvent se réinventer : dans le toucher d’une main, dans un silence partagé, dans la tendresse qui traverse le brouillard.

Aimer sans attendre de retour, voir la lumière qui persiste derrière le voile.